par Ange Gardien, dimanche 27 février 2011, 12:07
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Publié originalement en 1912 dans un livre intitulé Vos Forces et Comment Les Utiliser. Ce fameux crédo par Christian D. Larson mérite d’être lu à tous les matins et à tous les soirs.
Promettez-vous…
D’être si fort que rien ne peut déranger votre paix de l’esprit.
De parler de santé, de joie et de prospérité à chaque personne que vous rencontrez.
De faire ressentir à chacun de vos amis qu’il y a quelque chose de valable en eux.
De regarder le côté ensoleillé de tout et de faire ressortir votre optimisme.
De penser seulement le meilleur, de travailler seulement pour ce qu’il y a de mieux et de vous attendre seulement au meilleur.
D’être juste aussi enthousiaste face au succès des autres comme vous l’êtes pour le vôtre.
D’oublier les erreurs du passé et mettre l’emphase sur les plus grandes réalisations du futur.
De passer tellement de temps à vous améliorer que vous n’avez pas de temps pour critiquer les autres.
D’être trop grand pour vous soucier, trop noble pour de la colère, trop fort pour avoir peur et trop heureux pour permettre la présence de troubles.
De penser du bien de vous-même et pour proclamer ce fait au monde, pas en le criant, mais par de grands accomplissements.
De vivre dans la foi que le monde entier est de votre côté, tant et aussi longtemps que vous êtes vrai envers ce qu’il y a de meilleur en vous.
Promettez-vous…
D’être si fort que rien ne peut déranger votre paix de l’esprit.
De parler de santé, de joie et de prospérité à chaque personne que vous rencontrez.
De faire ressentir à chacun de vos amis qu’il y a quelque chose de valable en eux.
De regarder le côté ensoleillé de tout et de faire ressortir votre optimisme.
De penser seulement le meilleur, de travailler seulement pour ce qu’il y a de mieux et de vous attendre seulement au meilleur.
D’être juste aussi enthousiaste face au succès des autres comme vous l’êtes pour le vôtre.
D’oublier les erreurs du passé et mettre l’emphase sur les plus grandes réalisations du futur.
De passer tellement de temps à vous améliorer que vous n’avez pas de temps pour critiquer les autres.
D’être trop grand pour vous soucier, trop noble pour de la colère, trop fort pour avoir peur et trop heureux pour permettre la présence de troubles.
De penser du bien de vous-même et pour proclamer ce fait au monde, pas en le criant, mais par de grands accomplissements.
De vivre dans la foi que le monde entier est de votre côté, tant et aussi longtemps que vous êtes vrai envers ce qu’il y a de meilleur en vous.
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